Véritable théâtre d’objets sonores, musical et burlesque, cette ode musicale à la récupération s’achève en apothéose sur la construction d’une pyramide d’automates, véritable “symphonie des jouets”. Un chef d’orchestre, s’applique à extraire de la musique d’un fatras d’objets récupérés. De cette fantaisie musicale et visuelle naît une succession de scénettes, emmenées tambour battant par son adjoint bricoleur. Pêle-mêle apparaissent des êtres loufoques : animaux mécaniques, marins d’eau douce, bestioles géantes, danseurs virtuoses…